Art & Psy

Guernica, un seuil vivant. Une scène ouverte où chaque fissure devient un piège. Le tableau vous attend, prêt à rouvrir ses brèches.

Les figures de Guernica jouent à cache-cache avec le réel. Refoulement, dissociation : chaque défense fissure un peu plus la scène.

Compulsion de répétition : à chaque regard, Guernica rejoue la même scène. Pas de sortie. Juste une boucle sans fin, encore et encore.

Vie et mort s’embrassent et se déchirent dans Guernica. Rien ne gagne, tout reste suspendu dans une tension insoutenable.

Regressions visuelles, pulsions archaïques : Guernica, c’est Freud en mode chaos. Chaque détail est une descente sans fin dans l’inconscient

Ces billets sur Freud reposent sur une bibliographie précise et une articulation de notions psychanalytiques essentielles.

Guernica n’a pas besoin d’être présenté. Dès qu’on le voit, quelque chose se brise.

Guernica n’est pas un tableau, c’est un piège. Pulsions, trauma, compulsion : entrez dans la brèche. Vous n’en ressortirez pas indemne.

À première vue, ça ressemble à un banal billet de 1 dollar. La texture est familière, l’œil glisse dessus comme il glisserait sur une vitrin